Éduquer et construire pour ne plus avoir à apaiser ou reconstruire. Une nouvelle étude de l’Unicef, rendue publique ce jeudi, démo
One Young World, le monde de demain par les jeunes. Du 17 au 20 octobre 2018 aura lieu à La Haye le 9ème Sommet Mondial de la jeun
Partant du constat, que des modèles de plus en plus stéréotypés sont transmis dès le plus jeune âge, nous avons décidé d’agir en lançant notre projet « Fais pas Genre ». Cette initiative se divise en deux étapes.
D’abord une étude nationale pour comprendre l’origine des stéréotypes de genre chez les 11-14 ans et trouver les moyens les plus pertinents pour les déconstruire auprès de cette cible. Puis, une production de contenus, d’outils et une mise en place d’actions concrètes permettant de sensibiliser les jeunes sur les sujets d’orientation, de sexualité et de sexisme.
Loin de rester dans un objectif descriptif et observatoire, le but est donc à la fois de Détecter les facteurs environnementaux où se transmettent les stéréotypes chez les ados pour les désamorcer au plus tôt ; mais également décrypter les attentes des jeunes et réfléchir à des solutions à effets immédiats, en mettant en place des actions concrètes tout en utilisant les leviers les plus proches de ces ados.
En complémentarité à Femme avec un grand F, ce slam invite à entrer dans les abysses du genre du point de vue masculin et à s’interroger sur les stéréotypes de genre et de sexe dans la société.
« Alors c’est un peu le NO MAN’S LAND, l’homme n’est plus en terrain connu, il explore des terres inconnues. En zone neutre, il tâtonne. En habile funambule, il tisse son fil. Volubile somnambule, il avance prudemment ses quilles. »
Aujourd’hui c’est Carl-Frédéric De Celles notre Homme à Femmes. Carl-Frédéric est le président de iXmédia, très impliqué sur la scène numérique québécoise mais également culturelle. Je l’ai rencontré juste après le scandale Gilbert Rozon (Juste Pour Rire) et la déferlante des #metoo. Carl-Frédéric nous livre une réflexion intéressante sur le rapport de la société à la virilité et sur sa conception.
Un petit texte humoristique et sarcastique sur les relations à l’heure 2.0.
« Amour en boîte, amour en kit. Quitte à rêver, quitte à aimer un petit peu avant qu’on se lasse, avant qu’on se quitte.
Alors profite. »
Cela vient d’où cette fâcheuse tendance à vouloir tout faire entrer dans des cases ? Surtout les gens. Comme si tout pouvait se résumer à une case. Comme si on devait avoir une seule étiquette, une seule couleur, une seule vie…
« Je suis partie, tu es resté. C’est parfois celui qui part qui reste sur le quai ».
Un amour éperdu transformé en amour perdu. Une quête de soi, un besoin d’accomplissement qui laisse place à une reconstruction en dépit d’un amour profond. Une déclaration non plus d’amour mais d’éternelle affection.